Depuis 1977, plusieurs sites régionaux ont été expertisés par nos archéologues. Les régions telles que la Côte-Nord où des études et des interventions ont permis la mise au jour de témoins très anciens; la Mauricie et la Haute-Mauricie où les recherches ont suscité la mise sur pied d'expositions; la Jamésie où la réalisation de plusieurs projets ont donné lieu à d'importantes études d'impact ; la Hudsonie où pas moins de quarante campagnes de recherches sur le terrain ont été réalisées à ce jour, dans le cadre des études sur le Complexe Grande-Baleine réalisées par Hydro-Québec.
L'Outaouais, lieu d'occupation très ancien où des inventaires archéologiques, principalement, ont été réalisés. Dans la région de la Sagamie, Archéotec a participé de près à des projets d'aménagement, à des tracés de lignes électriques, ainsi qu'à la stabilisation des berges du lac Saint-Jean; l'Ungava, cette région nordique principalement habitée par les Inuit, a été l'objet d'étude de potentiel archéologique, entre autres dans les vallées de six rivières, à Aupaluk, Tasiujaq, Kangiqsuk et Kangigsujuaq. En Jamésie, des travaux ont eu lieu dans les régions de La Grande 4, du réservoir Caniapiscau, de la dérivation Rupert. La vallée du Saint-Laurent regroupe plusieurs villes où Archéotec a fait des recherches. Dans cette région, nos archéologues ont supervisé l'aménagement de gazoducs, et d'emprises d'autoroutes; Lanaudière a été l'objet principalement d'une vaste étude de potentiel ainsi que de la mise sur pied d'un projet muséal; le Témiscamingue a procuré à nos archéologues des artefacts et vestiges d'importance; dans le Cœur-du-Québec, des études de potentiel et des inventaires ont été réalisés. Cette dernière région, riche en potentiel archéologique, a suscité la mise au jour de témoins artefactuels d'importance.
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